Entre Capitole et Esquirol, l’ancienne rue Veronica dont le nom s’est transformé en “Baronie” offre de beaux commerces et d’insolites curiosités architecturales.
Le promeneur qui veut éviter l’”autoroute” d’Alsace pourra y admirer quelques belles curiosités architecturale. Le magnifique hôtel néo-renaissance, au no 5 (2ème moitié du 19ème siècle) à l’opulente décoration, est son fleuron. Tout le savoir-faire Virebent !
Mais, n’oubliez pas d’aller admirer le portail insolite (Toulouse imitation !) d’un autre immeuble.
Située dans le prolongement de la rue des Tourneurs (tourneurs de bois), la rue a été “rectifiée” au 19ème siècle.
Naguère, rue des Tourneurs se tenait “la grande Braderie toulousaine” où on vantait un fleuron local, “la bière Monplaisir”.. Se prolongeait-elle rue Baronie. Qui se souvient ? La rue avait beaucoup de petits commerces.
Badauds et clients de la braderie pouvaient s’y “requinquer” à l’”Apéritif des familles”, à la maison du Quinquina (rue Peyras, à l’angle de la rue Baronie)… pour changer du célèbre “Père Louis” voisin dont certains ont peut-être été des familiers !
Photographies personnelles. La Dépêche 20 mars 1938, Rosalis. Grande Braderie toulousaine; Rue des Tourneurs. 4-6 juin 1932. Vue perspective plongeante – prise en direction de la rue Baronie. Ville de Toulouse – Archives municipales. 85Fi360