En 1862, était inauguré à Toulouse un service d’omnibus à impériale. Plus tard vint le temps des pittoresques voitures “Ripert”, puis le tramway sur rail hippomobile.
Le service d’omnibus à impériale à un cheval démarrait son activité à partir de la place du Capitole, avec 9 voitures. Le concessionnaire était M. Eugène Pons. En 1863, trois lignes étaient ouvertes. En 1871, 125 chevaux étaient à l’œuvre.
Le concessionnaire était M. Eugène Pons. En 1863, trois lignes étaient ouvertes. En 1871, 125 chevaux étaient à l’œuvre.
La concession fut renouvelée plusieurs fois jusqu’en 1893. On avait mis en place des omnibus de banlieue à deux chevaux.
Les voitures “Ripert”
Plus tard, en 1883, les tramways Ripert, du nom d’un carrossier marseillais, un nouveau type de voitures de 12 places firent leur apparition.
En 1881, Eugène Trutat photographiait un tramway hippomobile de ce type au carrefour des actuelles allées Jean-Jaurès et du boulevard Lazare-Carnot.
Une voiture de ce type, en provenance de Toulouse, est exposée au musée des transports de Chelles. C’était la ligne 2, “Capitole-Saint Michel“.
Dommage que nous ne puissions pas l’admirer à Toulouse !
En 1890, elles ont été mises sur rail, toujours avec les chevaux.
En 1906 vint l’heure du tramway électrique qui tira sa révérence en 1957. Mais les chevaux restaient nombreux dans la ville. Mais les chevaux restaient nombreux dans la ville, pour le transport des marchandises avec les “baladeuses”, l’enlèvement des ordures..
D’après « Un métro pour le grand Toulouse », Privat et site amtuir.
.Le premier bus à impériale de Toulouse (de 1863). Bulletin municipal, avril 1939, Bibliothèque municipale de Toulouse. Archives municipales de Toulouse 51Fi345. Tramway Ripert. amtuir.org/le-musee-des-transports-urbains/. Musée des Transports de Chelles (Seine-et-Marne).
H. Marouby @ Dame-Tholose agenda et carnet culturels. Reproduction et partage avec mention de la source.
