Il y a cent ans, les effectifs de moutons dans notre région avait dramatiquement fondu : la main d’oeuvre agricole avait subi un lourd tribut à la première guerre mondiale. Et les filles avaient “oublié l’exemple de sainte Germaine, la bergère de Pibrac” !
L’image des moutons (ou plutôt des brebis) à la prairie des filtres est bien connue. Celle hôtes des hauteurs de Pech David avec vue imprenable sur la ville et enfin, les moutons du Ramier évoquent aussi l’importance de cet élevage de proximité, valorisant les terres “vagues”.
(Ville de Toulouse – Archives municipales. Moutons aux ramiers du Château. 9Fi4244. Moutons à Pech David, vue sur la ville et la caserne Niel. 1908. Photographie E. Espy. 1Num1/100. L’Express du Midi, 10 mai 1923, gallica)