XIX° siècle

Toulouse organisait une soirée au Théâtre des Variétés, en hommage au citoyen, professeur et membre du conseil municipal, “un grand tribun qui a laissé dans la ville un souvenir si vivace.”

C’était un 1er juin. En cette année 1892, la Halle aux poissons était délaissée : le marché était transféré place Victor Hugo où une nouvelle halle métallique, remplaçant une halle en bois, venait d’être inaugurée.…

Aux Augustins, une belle composition de frère Ambroise Frédaeau, “Saint-Augustin reçoit l’habit monastique des mains de saint Ambroise et de saint Simplicien”

Les troupes anglo-portugaises de Wellington entouraient Toulouse. Soult pourra dégager son armée depuis la colline du Calvinet .

Bien utile ce “chalet de nécessité” à l’heure de “faire Alsace”. Pour déposer ses emplettes, par exemple..

Grand prix de Rome, élève des Beaux-Arts de Toulouse, il fit partie de la “bande des Toulousains”, des artistes qui connurent une grande renommée artistique et réussite sociale, recevant avec plusieurs distinctions.

Jacques-Jean Esquié, illustre architecte départementa a signé avec la prison Saint-Michel (et l’asile de Braqueville), une de ses plus remarquables réalisations

Le 11 février 1911 sont classés au titre des monuments historiques la tour du Donjon, les façades de la cour Henri IV et la façade de Cammas (1750-1760) sur la…

Ce magnifique bâtiment, témoignage de l’architecture de son époque et de la vie toulousaine a été détruit en 1963 pour faire place à un marché-parking.

Inauguré en 1910, le monument, qui rend hommage aux combattants morts lors de la guerre franco-allemande de 1870, à l’extrémité des allées François-Verdier a été déplacé naguère depuis le bout des allées Jules-Guesde suite aux travaux du tramway.

A Saint-Sernin. Le 7 janvier 1884, ouvrait le lycée de Jeunes Filles de la ville, qui venait occuper la maison d’éducation pour jeunes filles des bénédictines:

Un 1er janvier, en 1949 les droits d’octroi perçus par les municipalités entrant dans les villes françaises étaient supprimés. Toulouse avait renoncé à cette source de revenus en 1938.