Pas de doute, Toulouse est un haut lieu de la sténodactylographie avec un inventeur, un maire. Il y avait même des colonies de vacances des sténo-dactylographes !

En 1525, les capitouls faisaient reconstruire la tour des Archives qui protégeait les documents les plus précieux de la ville.

Johnnie s’indignait avec sa prose alerte. Quand la foule se pressait au marché “aux vieilleries” le dimanche matin.. “Marchands et les badauds …  de considérer le mur du musée Saint-Raymond qui fait face à la rue des Trois-Renards comme l’immense ardoise d’une vespasienne commode *”

Rue Baronie, le promeneur qui veut éviter l’”autoroute” d’Alsace pourra y admirer quelques belles curiosités architecturale. Le magnifique hôtel néo-renaissance, au no 5 (2ème moitié du 19ème siècle) à l’opulente décoration, est son fleuron. Tout le savoir-faire Virebent !

“La réforme de la Congrégation de Saint Vanne, de Saint Hydulphe, établie en Lorraine, donna lieu à celle qu’embrassèrent les Bénédictins français en 1621, sous le titre de Congrégation de Saint-Maur…”.

n ce 6 janvier 1189, fête de l’Epiphanie. A l’église Saint-Pierre des Cuisines: le comte de Toulouse, Raymond V approuve la commune de Toulouse en lui reconnaissant l’ensemble de ses prérogatives et autres “libertés”.

Point crucial, ceci comprend le droit d’élection des représentants de la ville, libre de toute ingérence princière (comtale).

La rue des cloches bordait naguère la cathédrale au nord, démolie au début du XXème siècle. Georges Castex, le “peintre de Toulouse”, a laissé une illustration émouvante de cette voie. Nous retrouvons aussi les maisons proches jadis de la cathédrales sur de belles photographies anciennes.

Tout près, en 1909; rue Sainte-Ursule, la maison Gautié (Assalit et Fontan) vendait des tissus en gros, dont des rouenneries et des lainages.

Urbain Vitry, célèbre architecte et urbaniste (1802-1863) a réalisé de nombreux monuments dans la ville

Un 9 décembre, en 1905, c’était la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat.
Deux personnalités toulousaines, le “capitoul” Bedouce et l’archevêque Germain se font face, avec bien sûr les Jeux Floraux comme toile de fond.

En cette fin de siècle, mélange de genres et décors à foison dans ces nouveaux immeubles de l’architecte Gazagne dans les nouvelles artères bourgeoises toulousaines.

A l’arrière de la célèbre scène où il partage son manteau, figure Toulouse, très stylisée.
En bas, une scène pittoresque : des ânes se dirigent vers une porte, peut-être celle de des moulins toulousains, le Bazacle.. . Saint-Martin était aussi le protecteur des ânes et chevaux.

Aux Jardin des plantes un monument honore le premier planteur de chrysanthème, le capitaine Bernet, né et mort à Toulouse

L’église. un prieuré de Saint-Sernin était, dès 1510, le siège de la corporation des imprimeurs et libraires.. influente dans “Toulouse la savante”

La tour a été édifiée par le capitoul Pierre de Serta en 1533 pour desservir comme escalier deux immeubles (n°2 et n°4 rue Saint-Rome).

A deux pas du Capitole, dans la rue du même nom, la tour des Ursulines est un magnifique exemple de tour toulousaine

Auguste Tivollier, arrivé à Toulouse en 1853, devint cafetier « chic » près de la place du Capitole mais s’intéressa vite à la fabrication de foies gras, pâtés et terrines « à la truffe », en innovant dans les procédés et une recette secrète « fameuse ».

Le roi se plaignit aux Capitouls du mauvais état de la place Saint-Etienne, qui, les jours de pluie, était transformée en un vrai bourbier. A l’occasion du passage du roi, les magistrats de la cité avaient fait restaurer la fontaine qui existe encore au milieu de cette place

La première pierre du grand couvent toulousain des chartreux était posée en 1607. Lui succéda en 1792 l’église Saint-Pierre des Chartreux, aujourd’hui paroisse étudiante de la ville.